2 mai 2012, Paris 14e, une personne âgée de 83 ans qui revient du supermarché est abordée par deux jeunes filles qui prétextent avoir besoin de consulter urgemment un annuaire téléphonique pour obtenir les coordonnées d’un médecin ; elles s’invitent chez l’octogénaire et dérobent à son insu une carte bancaire et vingt euros.
Le 3ème district de police judiciaire (DPJ) est saisi de l’enquête. Ce modus operandi rappelle aux policiers une série de faits similaires ; la cellule opérationnelle de rapprochements et d’analyse des infractions (CORAIL) en recense 11 autres. A partir de l’exploitation de la vidéoprotection relative à cette dernière affaire, ils peuvent mettre un visage sur les jeunes voleuses.
4 mai, au cours de leurs investigations dans l’arrondissement, les enquêteurs reconnaissent les présumées auteures des vols par ruse marchant dans la rue et procèdent immédiatement à leur interpellation.
Démunies de pièce d’identité, elles déclarent être sœurs, âgées de 13 et 8 ans ; l’identité judiciaire révèle qu’elles sont déjà connues des services de police. Bien que se limitant à reconnaître le dernier vol, quatre autres victimes les identifient formellement.
Elles ont été déférées au Parquet des Mineurs de Paris puis laissées libres.
Le 3ème district de police judiciaire (DPJ) est saisi de l’enquête. Ce modus operandi rappelle aux policiers une série de faits similaires ; la cellule opérationnelle de rapprochements et d’analyse des infractions (CORAIL) en recense 11 autres. A partir de l’exploitation de la vidéoprotection relative à cette dernière affaire, ils peuvent mettre un visage sur les jeunes voleuses.
4 mai, au cours de leurs investigations dans l’arrondissement, les enquêteurs reconnaissent les présumées auteures des vols par ruse marchant dans la rue et procèdent immédiatement à leur interpellation.
Démunies de pièce d’identité, elles déclarent être sœurs, âgées de 13 et 8 ans ; l’identité judiciaire révèle qu’elles sont déjà connues des services de police. Bien que se limitant à reconnaître le dernier vol, quatre autres victimes les identifient formellement.
Elles ont été déférées au Parquet des Mineurs de Paris puis laissées libres.
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